méthode infaillible pour oublier le monde POPO |
(problématique) Alors tu fermes les yeux et tu entends PO PO. Ou peut-être PA PO. Et tes PO PO, et tes PA PO te crèvent. Car c’est bien ton problème tes PO PO PA PO. Car tu n’as jamais eu ni même le sens de l’orthographe. Le mérite de l’orthographe c’est que tu pourrais distinguer tes PO des peaux et des pots. Le mérite de l’orthographe c’est que tu saurais si tes PA PO des pas de peau ou du pas de pot. Tu ne sais même pas si ne pas avoir de peau a les mêmes conséquences que ne pas avoir de pot. Quoique ne pas avoir de peau c’est déjà pas de pot. Pourtant (thèse) tu ? Tu recherches cette peau ? Juste pour la distinction. Juste pour la troisième dimension que tu oublieras ensuite. Tu voudrais privilégier la surface et l’explorer et, pour (ne pas) oublier le volume ; et ton plan d’immanence résistera à leur transcendance. Ne plus avoir à creuser ! Ne plus crever de tes PAPO POPAPOPOPA PO PO et retrouver un contact au monde. Et résister au monde POPO. (interthèse) PAAPOPOOPA POPAPOO POPOPA (anthithèse) Comme le mérite de l’orthographe c’est de ne pas l’oublier parfois, le mérite de l’orthographe c’est de l’oublier parfois. En vérité, tu t’en fous de savoir si ne pas avoir de peau a les mêmes conséquences que ne pas avoir de pot. Alors tu élimines la peau, la surface, la surface de ta peau pour diluer le dehors dans ton dedans. Un mélange puisqu’il te faudrait oublier le dedans de ton corps. Et c’est ton dedans qui ne résistera pas. Enfin. Puisque tu ne peux plus l’exister ; c’est ainsi que PO PO PAPOOO malgré tout lutter contre le superficiel. Quand même malgré tout résister au monde POPO, malgré. (problématique) Alors tu les ouvres tes yeux et tu les oublies tes POPOPAPO PAPAPO ? Et tu n’aurais plus de problèmes de monde POPO |